Questionnaire d'évaluation post-formation Rachis au TOP : de la pratique à l'expertise

Rachis au TOP de la pratique à l'expertise - Questionnaire post-formation

Suite à la formation Rachis au TOP de la pratique à l'expertise que vous avez suivie, ce questionnaire vous et nous permettra d'évaluer si vous avez bien assimilé le contenu de cette formation.

Afin de pouvoir correctement évaluer vos connaissances après votre formation, merci de bien vouloir nous laisser vos informations personnelles ci-dessous.

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Une patiente de 23 ans se présente avec des douleurs lombaires basses suite à une chute sur les fesses lors d’une session de patinage (cf image).
Parmi les propositions, quel(s) diagnostic(s) est(sont) plausible(s) dans cette situation ?

1. Une radiculopathie lombaire

2. Une sensibilisation des articulations zygapophysaires L1-2/L2-3

3. Une sensibilisation des articulations zygapophysaires L4-5/L5-S1

4. Une sensibilisation de l’articulation sacro-iliaque

5. Aucune bonne réponse

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Le diagnostic de syndrome de douleur la sacro-iliaque selon le cluster de Laslett M et al.

1. Se compose de 4 tests : compressions des ailes iliaques, compression de la cuisse, distraction et thrust sacré

2. Se compose de 2 tests : compression des ailes iliaques et distraction

3. Se compose du test du Gillet et du test des pouces montant

4. Se diagnostique uniquement par imagerie

5. Aucune des réponses précédentes

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Le phénomène de sensibilisation centrale

1. Correspond aux douleurs nociplastiques

2. S’explique par les facteurs psychosociaux

3. Peut avoir pour composante une amplification du signal au niveau du 1er relais spinal

4. Se diagnostique par le CSI (Central Sensitization Inventory)

5. Aucune des réponses précédentes

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Le tableau clinique d’un patient avec déficit d’un contrôle sera plutôt quelqu’un de :

1. « Jeune (<40 ans) », avec une flexibilité élevée, des mouvements aberrants, un A-SLR+ et un Prone instability test+

2. « Jeune (<40 ans) », raide, un SLR+ et un SLUMP+

3. « Mûr (>40 ans) », flexible, un A-SLR+ et un Prone instability test+

4. « Mûr (>40 ans) », raide, un SLR+ et un SLUMP+

5. Aucune des réponses précédentes

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Quelle(s) population est plus à risque de développer une douleur sacro-iliaque ?

1. Les femmes enceintes

2. Les chutes directes sur les fesses

3. Les pathologies rhumatismales

4. Les patients lombalgiques avec douleurs persistantes

5. Aucune des réponses précédentes

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Concernant la pathogénèse des céphalées

1. Les mécanismes des céphalées sont communs à tous les types

2. Les mécanismes des migraines et des céphalées cervicogéniques sont différents

3. Un syndrome de rachis cervical traumatique peut amener des céphalées

4. La sensibilisation centrale est le seul mécanisme des céphalées

5. Aucune des réponses précédentes

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Concernant le test de flexion rotation cervicale (FRT) pour les céphalées cervicogéniques :

1. Ne permet pas le diagnostic de céphalée cervicogénique

2. Permet le diagnostic de céphalées de tension

3. Peut inclure ou exclure des céphalées cervicogéniques d’origine C1-C3

4. Evalue de façon fiable et valide la mobilité C1-C2

5. Aucune des réponses précédentes

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Concernant l’efficacité de la thérapie manuelle du rachis cervical supérieur en cas de céphalées cervicogéniques :

1. Elle est efficace pour les migraines

2. Elle est efficace concernant les céphalées cervicogéniques en combinaison avec des exercices

3. Elle est efficace concernant les céphalées de tension

4. Elle est efficace pour les 3

5. Aucune des réponses précédentes

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Un patient présente des céphalées cervicogénique aiguë avec un FRT +, que proposez-vous en priorité ?

1. Self-SNAG C1-C2

2. Mobilisations passives du rachis cervical

3. Manipulation du rachis cervical supérieur

4. Des triptans chez le médecin

5. Aucune des réponses précédentes

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Concernant les étourdissements cervicogéniques

1. Il existe des preuves de forte qualité en faveur de l’efficacité de la thérapie manuelle sur l’intensité et la fréquence

2. Il existe des preuves de forte qualité en faveur de l’efficacité des exercices sur l’intensité et la fréquence

3. Il n’existe pas de preuve en faveur de l’efficacité de la kinésithérapie

4. Il existe des preuves de faible qualité en faveur de l’efficacité de la thérapie manuelle sur l’intensité et la fréquence

5. Aucune des réponses précédentes

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